Histoire de l’ascension d’un jeune homme semi-lettré à la tête du Congo ?

Son appartenance à la famille de LD Kabila

Sorti de rien sauf qu’il a la chance d’être le fils de son père, Joseph Kabila est l’enfant prodige qui a rendu l’ascenseur à son père. Né pendant la période de rébellion dans les montagnes de Fizi, Joseph a passé son enfance dans des conditions difficiles du maquis. LD Kabila a fait le maquis avec Gizenga dans la protection du gouvernement légitime de Lumumba. Après la rébellion et le trafic de l’or dans le Fizi, LD Kabila est fatigué d’être traqué par Mobutu. Il trouve refuge en Tanzanie.

Longtemps après le dynamisme de la jeunesse qui lui donnait la folie de gravir les montagnes,  c’est le moment choisi par Museveni et Kagamepour défier le grand léopard qui contrôle l’Afrique centrale.Ils planifient d’attaquer la RDC mais, ils manquent d’alibi. Voilà qu’un jeune homme, recrue dans la nouvelle armée rwandaise, l’APR se rappelle que son père qui se repose tranquillementen Tanzanie peut être d’un grand soutien dans le mouvement de libération qui se prépare et qui va se déclencher bientôt dans L’Est de la RDC. Parce que ce vieux opposant au régime Mobutu a une longue expérience de la rébellion dans l’Est de la RDC.

C’est donc par son fils Joseph que LD Kabila sera approché par la coalition militaro-politique ougando-rwandaise qui, depuis des années, envie les richesses du Congo et trouve une opportunité de passer à l’acte et se servir. Le moment est propice. Car, le vieux léopard est malade à l’étranger et il faut mettre hors état de nuire les militaires rwandais armés refugiés en RDC qui font des incursions au Rwanda. L’argument est de taille mais, il faut trouver des raisons internes au Congo. Les Banyarwanda se présentent comme étant une minorité persécutée.

Cette raison va séduire la communauté internationale amoureuse de cette tribu. A propos, Albright avait déclaré : « .. ». Il est impérieux de s’attirer la sympathie de la communauté internationale avant d’attaquer le Congo. Pour cela,Il faut ratisser large et réunir plusieurs alibis pour justifier la guerre contre le Congo. De fil en aiguille, un parti politique est créé réunissant quatre tendances. Il s’appelle Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo ; en sigle AFDL. Il se fixe comme objectif de libérer le peuple congolais de la dictature mobutienne. Ce sont des jeunes gens banyarwanda qui sont les plus actifs et qui ont le contrôle de cette machine de guerre. Il s’agit de MasasuNyndaga, DéogratiasBugera et Bizima Karara.

Du côté militaire, ils bénéficient de l’encadrement de James Kabarebe, un proche fidèle de Kagame. Pour lancer l’assaut, il manque le porte étandard. Deux personnes d’origine congolaiserépondant au profil recherché seront dénichées et mises à contribution : KisaseNgandu et LD Kabila. L’opération commence et, selon Onana et Pierre Péan,KisaseNgandu comprend très vite l’appétit de ses compagnons d’arme. Il devient retissent et se méfie de plus en plus d’eux. Il comprend qu’ils ne poursuivent pas tous les mêmes objectifs. Ceux-ci sont différents selon des groupes ethniques.

Les rwandais ayant un agenda caché en complicité avec les banyarwanda. Ils sont arrogants et ont une soif démesurée de prendre le pouvoir à Kinshasa. Comptant sur l’appui du rwanda, ils veulent être maîtres de la région des grands lacs.Toujours selon Onana, Kisase sera éliminé lors d’une mission de reconnaissance entre Walikale et Kisangani par les militaires rwandais au motif il devenait à l’opération de conquérir le Congo. LD Kabila reste seul comme symbole et appui à cette agression ougando-rwandaise. Au départ, LD Kabila n’est qu’un figurant  nommé au poste de porte-parole du parti. Il prend de l’ampleur au fur et à mesure que la guerre avance.

Sa position et sa participation dans les forces de libération en 1997

Joseph, une recrue de l’APR, se trouve aux côtés du porte-parole du mouvement de libération. En tant que fils de celui qui prend le risque de s’afficher comme étant le patron du mouvement politico-militaire qui traverse le Congo alors que les vrais patrons se cachent, Joseph sera vite promu commandant. D’après Onana, Kabarebe qui a libéré Kisangani le présentera comme le héros. Il lui demande de se présenter comme le libérateur de Kisangani. Parait-il qu’il a fallu plusieurs séances de préparation pour qu’il prenne la parole et s’adresser à la population boyomaise (Kisangani). Toujours selon Onana, Kabarebe s’étonne que Joseph puisse rester longtemps président alors qu’il ne lui reconnait aucun sens de commande. C’est à peine qu’il peut regarder quelqu’un dans les yeux.

Lorsque les troupes de l’AFDL arrivent à Kinshasa le 7 mai 1997, LD Kabila(photo) qui se trouve à Lubumbashi prend les jeunes loups de court et s’autoproclame président. Il respecte les alliances et nomme Kabarebe chef d’état-major. Il récompense son fils Joseph qui l’a accompagné dans ce dur parcours en le nommant aux finances de l’armée. Kabarebe et Joseph occupaient des bureaux contigus qui communiquaient par une petite porte. J’ai eu à m’entretenir avec Joseph dans un dossier de rafle de voiture et d’argent impliquant John Numbi, commandant de la 50ème brigade et Serge Bolisomi, un voyou de la DSP devenu l’officier de renseignement militaire de John Numbi.

Comprenant la nécessité d’une formation militaire pour son fils, LD Kabila envoie Joseph en formation en Chine. Il ne fera que deux mois de formation avant d’être rappelé pour épauler son père dans une nouvelle agression perpétrée par leurs anciens partenaires. James Kabarebe n’ayant pas accepté son éviction de l’état-major. Joseph qui revient de Chine aura le commandement de la force terrestre. Il est donc à la tête de la composante importante de l’arméelorsque son père est assassiné avec à son actif : le passage dans l’APR et une formation militaire de deux mois en Chine.

Opportunité à la mort de LD Kabila

Joseph est en mission dans le Katanga. Son père sera assassiné dans son bureau alors qu’il doit se rendre à la réunion de la francophonie au Cameroun. Le matin du jour de son assassinat, LD Kabila avait effectué un déplacement vers l’aéroport et revenu au bureau. Entre 10h00 et 11h00, l’équipe qui doit l’accompagner au sommet de la francophonie attend dans la salle au palais de marbre. Parmi les ministres présents dans la salle d’attente, il y a Mashako Mamba, MwenzeKongolo et les autres.

Plusieurs versions circulent autour de l’assassinat de Mzee. Pour ma part, je considère l’implication de Kanaffer comme la thèse la plus probable. L’opinion semble oublier que le commandant Yav qui était en charge de la sécurité de la ville de Kinshasa avait abattu douze sujets libanais répondant tous au nom de Kanaffer à Kibomango.Ce sont des pauvres innocents qu’il avait éliminés.  A ce moment-là, le vrai Kanaffer, assassin de Mzee avait déjà traversé les frontières probablement par le Bas-congo.

Actuellement, il erre à travers le monde et continue à faire son business au moment où des innocents à cet assassinat croupissent en prison. L’histoire du Congo est vraiment falsifiée ! Lorsqu’il sera question de raconter notre histoire à nos descendants, nous manquerons de quoi à colmater ces trous qui se créent et pour lesquels nous ne demandons pas d’explications.

Eddy Kapend, le chef de camp LD Kabila a eu le courage d’adresser un message à la nation en tenue militaire et a décidé la fermeture des frontières. C’est grâce à lui que les choses se sont déroulées dans le calme. Mais, il a eu le mauvais réflexe d’abattre Rachidi qui est accusé à tort ou à raison comme étant l’assassin de Mzee.
A propos, Mota dit que Rachidi aurait abattu le président à bout portant et à sa présence. Pourtant, toutes les balles tirées sur le président seraient restées dans le corps.

Ce qui, avec l’état du sang trouvé sur le corps de Mzee, éloigne la véracité de la thèse de Mota sur l’assassinat à bout portant par Rachidi. Selon le premier récit des faits, Rachidi n’était pas en service le jour de l’assassinat. Il était de passage dans la cour. Lorsque la secrétaire et nièce du président l’aperçoit à travers la fenêtre, elle l’appelât pour que comme lui accéder facilement au bureau de Mzee sans protocole, qu’il puisse le prévenir que le temps pressait pour la réunion avec les ministres et le temps de prendre l’avion pour être de le temps du programme du sommet. Ce qui signifie que Rachidi est entré dans le bureau du président pas simple hasard. Alors que l’élimination du président fait partie d’un plan bien programmé et exécuté.

A mon avis, la mort de Mzee ne peut être attribuée ni à Eddy(photo), ni à Rachidi.  Pour avoir été le chef de camp, Eddy en paie le prix en prison. Si je peux être d’accord à cause de sa responsabilité dans la sécurité du président qui n’était pas assurée pour qu’il soit assassiné dans son bureau, son implication dans le coup est un doute que l’histoire pourra confirmer ou infirmer lorsque la vraie histoire sera écrite.

Kakudji est trahi par l’émotion dans son message à la nation le soir. Au moment où les responsables congolais cherchent une manière atténuée d’annoncer cette mort tragique du président, la Belgique, par son ministre des affaires étrangères, monsieur Louis Michel, les prennent de court et annonce l’assassinat de Mzee dans les médias du monde entier.  De l’intérieur, le peuple est calme.

La nuit est silencieuse et ne retiendra que les bruits du moteur de l’hélicoptère qui a transporté le corps du président de l’hôpital Ngaliema à l’aéroport de N’djili. Dans l’équipe médicale d’accompagnement, il y a le docteur Mashako, premier médecin ayant été sur placé  au palais de marbre et qui a apporté le premier secours, le docteur Kabwe des cliniques universitaires si ma mémoire ne me trahit pas et le docteur Espoir Munungu, anesthésiste-réanimateur à Ngaliema. Munungu n’était pas de service mais, il avait été réquisitionné à cause de son appartenance provinciale avec Mzee. L’avion décolle en direction de Nairobi au Zimbabwe. Entre temps, les sœurs de notre dame qui habitent dans l’enceinte de l’hôpital Ngaliema confirment le décès. Dans la précipitation de partir avec le corps, les habits souillés de sang de Mzee sont oubliés ou abandonnés au lit dans le service de réanimation.

Le docteur Armand Kubunga qui était de garde et qui prenait son coca  au kiosque en face de l’hôpital est resté dehors tout le temps que Mzee a passé à Ngaliema. C’est au départ de l’hélicoptère qu’il aura accès au service. A son arrivée, docteur Armand découvre les habits du président. Il prendra soins d’appeler Théophile Mbemba, le gouverneur de la ville de Kinshasa qui lui conseillera d’appeler MwenzeKongolo, ministre de l’intérieur. C’est à lui qu’il remettra ces habits. Pour avoir posé cet acte de bravoure, il a fait la prison parmi tous ceux qui ont été accusés d’avoir comploté ou participé à l’assassinat de Mzee.

Donc, à la mort de Mzee, Joseph est absent de Kinshasa mais, il a un avantage naturel d’être à la fois le fils du président assassiné, militaire et commandant de la branche importante de l’armée. Le contexte est celui de l’état d’urgence parce que le pays est en guerre. Il faut donc privilégier des options militaires dans la gestion du pays. Le gouvernement se réunit en urgence. Il est présidé par Kakudji. Deux ministres du gouvernement sont des généraux de forces armées : Kalume et Likulia. Mais, c’est au chef d’état-major qu’il faut confier la gestion du pays dans ces conditions.

Le vieux Luetshia (Watshia), le chef d’état-major est rongé par la maladie et la vieillesse. Lorsqu’on lui donne la parole, il évoque son incapacité d’assumer de telles fonctions pour insuffisance physique. Il propose que Joseph, le chef des forces terrestres, branche importante, puisse prendre le commandement. Cette proposition est adoptée à l’unanimité. Eddy décide de le faire venir à bord de l’unique avion qui a eu l’autorisation de décoller et d’atterrir à Kinshasa le lendemain du jour de l’assassinat. Dans cette émotion de la mort, l’africain ne peut que compatir. Joseph remplace son père. Il prête serment en tenue militaire. Alors que le remplacement du président assassiné relève du domaine de la politique ! Erreur grave! Voilà comment le gâteau lui a été servi dans un plateau en or.

Négociation de Sun-city

Un semblant de paix est obtenu à ce rassemblement folkorique où chacune des parties profitera du podium pour étaler ses imbécilités. Il en sortira le fameux schéma 1+4 qui plongera le pays dans le OK. Chaque parti politique disposant d’une milice contrôle une partie du territoire national. Les partispolitiques sans branches armées sont tenus au respect et ne prendront pas part au partage du gâteau réservé aux seuls loups et autres bêtes féroces. Bemba dispose d’une branche armée, Mutembezi(Butembuzi) va lui emboiter les pas, puis Nkundabatuara prendra le relais. Cette succession des rébellions dans l’Est de la RDC donnera naissance à plusieurs petits chefs militaires qui seront promus au grade de  généraux lors du brassage. C’est ainsi que le Congo compte dans ses rangs des généraux sans formation militaire.

Elections de 2006

Par le plaidoyer de Louis Michel qui vise à propulser son dauphin, le dossier Congo est remis sur table par la communauté internationale. Nous devons reconnaître que n’eut-été la perspicacité de Louis Michel, nous ne savons pas ce qu’adviendrait au peuple congolais en ce moment. Des élections sont organisées et Joseph en sort vainqueur face à Jean Pierre Bemba au deuxième tour.

En toute vérité et par gratitude, Joseph doit cette victoire de 2006 à deux personnes :

1.    Vital Kamerhe

Ce garçon qui a la commande du parti présidentiel, le PPRD usera de son intelligence pour mettre en place des stratégies en vue de la réussite du camp. Il donne le meilleur de lui-même dans la campagne. Il prend le soin de préparer le terrain. Il prend la parole pour introduire le chef. Il explique, parle à la place du chef lorsqu’il sent que celui-ci est soit fatigué ou dépassé. Parce qu’il connaît ses faiblesses. Donc, sur le plan politique, Joseph est rassuré parce qu’il a un collaborateur capable de faire face à toutes les situations.

2.    Antoine Gizenga

Ce vieux opposant est fatigué mais populaire dans le Bandundu et à Kinshasa, deux provinces clés pour réussir le fauteuil présidentiel. Sans moyen financier, sans vraiment battre campagne, il se place en troisième position aux présidentielles. Le parti présidentiel, par le biais de Kamerhe, approche Gizenga et Mobutu Zanga. Une plateforme majoritaire est constituée. Ils sont allés ensemble à la quête du pouvoir. C’est grâce à eux que Joseph obtiendra plus de voix que Jean Pierre Bemba et sera le vainqueur du deuxième tour.  Le ralliement d’Antoine Gizenga au camp Kabila tient aussi à sa fidélité du rapport qu’il a eu avec LD Kabila, son compagnon de lutte. D’ailleurs, Gizenga appelle Joseph toujours fils.

Elections de 2011

Le bilan de son mandat précédent plaide en sa défaveur. Il est conscient de la situation. Le peuple dans sa majorité ne veut plus de lui. Ces électeurs de 2006 sont déçus. Son mandat a négligé le social pour l’amener au plus mauvais du pays de tous les temps. Kinshasa, la capitale est la ville la plus hostile au président sortant. Mais, l’opposition qui doit l’affronter est aussi divisée. Il sent qu’il peut avoir un avantage s’il change de loi parce que la communauté internationale refuse de financer les élections.

Le pays ne dispose pas de moyens suffisants mais peut tenir si les élections s’organisent en un seul tour. La popularité du vieux de Limete inquiète quand même. Il revient de l’étranger et fait des pleins des stades. Une stratégie est mise en place : noyauter les médias au seul avantage du président sortant. Les finances de l’état aidant, occuper tout l’espace national dans la campagne et empêcher les autres candidats d’atteindre l’ensemble du territoire national. Pour être sûr de la victoire, un dispositif de tricherie et de fraude est mis en place: l’objectif est de faire réélire le chef et lui donner la majorité parlementaire pour une stabilité politique pendant le mandat.

Sur ce, il y aura :

– Modification de la loi électorale ;
– Nomination d’homme de main à la tête de la CENI, seul organe habilité à manipuler les résultats des élections ;
– Programmation des bureaux fictifs ;
– Impression des bulletins de vote parallèles et pré-marqués pour le candidat numéro 3 ;
– Détention de grandes quantités de bulletins de vote par les candidats du PPRD et, en même temps, manque de bulletins de vote dans les bureaux de vote ;
– Bourrage des urnes dans des bureaux fictifs et
– Corruption des responsables des bureaux de vote.

Pour plus d’information sur les tricheries et les fraudes qui ont émaillées le déroulement des élections en RDC, Je vous renvoie aux différents articles qui ont été publiés à propos.

Ce qui s’est passé et se passe  au Congo ne ressemble à rien au monde. C’est un fiasco authentique signé Kabila et consort. La CENI, le seul organe habilité à gérer le déroulement des élections en RDC a brillé par la médiocrité. De la taille du bulletin de vote commandé pour les législatives à la publication des résultats en passant par la compilation opaque, la CENI aura accouché d’un prématuré en mauvais état transféré en soins intensifs que la cour suprême de justice devra réanimer : la montagne des dossiers de contentieux électoraux entre d’une part, les membres de la famille du président sortant et, d’autre part, entre ceux-ci les membres de partis d’opposition.

Malheureusement, nous avons déjà une première expérience où la cour suprême de justice ne se met pas à hauteur de rétablir la justice entre différentes catégories de la population. Nous ne serons donc pas surpris de ses décisions. L’entêtement et l’amnésie aidant, le camp Kabila ne désarme pas. Il préfère persister dans l’erreur et l’arrogance que de s’amender. Laissons le temps au temps. Voyons ce que le lendemain nous réserve comme surprise.

Madame Eliate disait : « on est toujours content de se réveiller le lendemain. Parce qu’entretemps, beaucoup de semblables sont décédés la nuit. Eux n’auront pas la chance de suivre ce qui se passe le lendemain».

Le compatriote,
Chrysostome Mukila Kamba
[email protected]

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